Magnificat – Johann Pachelbel
Concert au profit de l'association Aïda
Vendredi 12 mai 2017
Église Notre-Dame de Grâce de Passy
Direction : Astrid Delaunay
Au clavier : Juliette Journaux
www.petits-chanteurs-passy.fr
Magnificat – Johann Pachelbel
Le Magnificat est le cantique que chante Marie lors de sa visite à Elisabeth. La mise en musique de Pachelbel (1653-1706) illustre pleinement le style du compositeur : un contrepoint rigoureux qui n'écrase pas l'émotion portée par les voix.
AÏDA:
Créée en janvier 2015 par Léa Moukanas, l'association Aïda lutte contre les cancers pédiatriques. Les fonds qu'elle récolte grâce à divers événements financent des projets de recherche et permettent de réaliser des rêves d'enfants et adolescents atteints de cancers. L'association se donne pour objectif de sensibiliser des jeunes à cette cause : l'âge moyen des bénévoles est particulièrement jeune.
Vous pouvez aider l'association Aïda sur www.associationaida.org.
Miserere – Antonio Caldara
Né à Venise, Antonio Caldara (1670-1736) influencera la musique de toute l'Europe du 17e siècle. Début du psaume 50 : « Aie pitié de moi, Seigneur, dans ta grande bonté », le Miserere est chanté aux laudes (prière du matin) du vendredi, voire tous les jours dans les abbayes bénédictines.
Pueri concinite – Johann Ritter von Herbeck
Johann Ritter von Herbeck (1831-1877) est principalement connu pour avoir comme chef d'orchestre créé un grand nombre d'oeuvres de Franz Schubert, mais il était également compositeur à la cour impériale. Ce motet pour soprano solo et choeur à quatre voix fut écrite pour la maitrise de la chapelle impériale du palais de la Hofburg, à Vienne, et créé le jour de Noël 1868. Faisant appel à toute la virtuosité du soliste, il est rapidement devenu un grand classique mettant en valeur les voix de garçons.
Stabat mater Opus 138 – Josef Rheinberger
Dans sa jeunesse, Josef Rheinberger (1839-1901) avait composé un Stabat mater d'amples dimensions, en plusieurs pièces. C'est dans la maturité qu'il compose celui-ci, d'un seul tenant. L'écriture est homophone pendant la plus grande partie de l'oeuvre : toutes les voix prononcent le même texte simultanément. Ce n'est qu'à la dernière strophe, Quando corpus morietur (Quand mon corps mourra, fais que la gloire du Paradis soit donnée à mon âme) que le texte est égrené voix après voix, sous la forme d'une fugue.
Partage